L'amant

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Page de titrre
Un inguérissable désir, par Henry BONNIER
L'AMANT
I
Tu es curieux de moi, je le sais
II
Au premier soir de l'été
L'amant docile se couche
Ses fesses sont la fraîcheur même
Comme autrefois dans la prévenance (<< Célébration de la Main »)
III
Mon amour, je peux bien te le dire
Les boueux, passant sous mes fenêtres
Que je te sais gré de ne m'avoir pas épousée
Présence.Ils ne s'étaient pas mariés
Il la quittait pour quinze longs jours
La semaine. Lundi matin, le recommencement
Lundi soir. La nuit de décembre entre
A cause d'une phrase de ta lettre
A midi je suis rentrée dans la maison
Cet après-midi, je n'ai pas du tout travaillé
Assise dans mon lit
IV
A l'imprévu, au détour d'un de ces gestes
Mon amour, mon amour, le grand bonheur
J'écoute en moi l'homme qui s'évertue
C'est une vieille histoire
Mon pauvre amour tes yeux hésitent
L'amant véhément se rend à l'amante
Tendresse
J'écris au moment de tendresse de l'année
Ton épaule opportune
Amour aux belles paupières
Tendres, c'est rire ensemble
De savoir que tes cheveux changent
Je ne sais rien des nuits
V
Quand finit notre rage contraire
DOSSIER DE L'AMANT
Note sur la présente édition
Genèse et chronologie de l'oeuvre
Variantes et ajouts
Ébauches pour la Main
Matériaux