Septembre 2017 : Michel Le Van Quyen se réveille frappé de paralysie. Surmenage, diagnostique-t-on, avant de prescrire un repos absolu. Au début, cette inaction lui pèse, puis la surprise se produit : le silence dans lequel il est plongé lui fait du bien et l’aide à surmonter la maladie. Il décide alors de mener l’enquête.
Nous en avions l’intuition, les neurosciences l’expliquent désormais : lorsque nous favorisons le silence acoustique, mais aussi attentionnel, visuel ou méditatif, notre cerveau bascule dans un état très particulier. C’est cette déconnexion qui l’aide à se régénérer, à évacuer les toxines conduisant aux maladies neurodégénératives. Mieux : le silence sous toutes ses formes est bénéfique pour la créativité, la mémorisation, voire la construction de notre « moi ».
Si les grandes sagesses d’Orient et d’Occident l’ont déjà compris, aujourd’hui la science atteste des stupéfiants pouvoirs du silence : à nous de nous en emparer.
Author(s): Michel Le Van Quyen
Publisher: FLAMMARION
Year: 2019
Language: French
Pages: 256
Tags: Sciences
TABLE
Avant-propos
Chapitre 1 - Le silence corporel
Chapitre 2 - Le silence acoustique
Chapitre 3 - Le silence attentionnel
Chapitre 4 - Le silence de la rêverie
Chapitre 5 - Le silence de l’écoute
Chapitre 6 - Le silence des yeux
Chapitre 7 - Le silence de la méditation
Chapitre 8 - Le silence de soi
Épilogue : osons le silence !
Crédits
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